Le sujet du prochain Café-péda portera sur le retour du vécu pendant cette période de confinement. Nous sommes intéressés par tous les points de vue : ceux des enseignants, bien sûr, mais aussi ceux des élèves, des étudiants, des parents, …
Nous commencerons par partager quelques vécus, un échange sur les faits et les ressentis, suivi d’une analyse et d’une réflexion sur les difficultés, les apports voire des pratiques que l’on pourrait retenir.
S’interroger sur le non-présentiel, dans quelle mesure pourrait-on l’instituer dans nos pratiques, quelles compétences génère-t-il, quelles contraintes, quels apports, …?
Profiter de cette expérience inédite pour orienter, ré-orienter, ré-enchanter l’école de demain.
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jeudi 26 novembre 2020
accueil à 18h15. Séance de 18h30 à 20h00.
En raison des conditions sanitaires, le Café-péda se déroulera en vidéo-conférence.
Il est indispensable de s’inscrire préalablement par message à l’adresse:
fondsmoniqueverrept1@gmail.com
Lors du Café-Péda du 26 novembre, nous examinerons différentes questions, comme :
Les relations parents-enseignants s’intensifient-elles durant le confinement ?
Les rapports famille-école évoluent-ils ?
Les représentations des uns et des autres se modifient-elles ?
La crise sanitaire, économique, sociale et politique a modifié notre quotidien. Cette transformation n’est-elle pas l’occasion de repenser nos manières d’échanger, de coopérer et d’apprendre ?
« Plutôt que d’essayer de reproduire à la maison l’école avec sa forme scolaire héritée de Condorcet, la pandémie de Covid-19 pourrait être et sera peut-être un magnifique laboratoire pour repenser l’école à l’ère du numérique », Jean-François Cerisier. Et si nous réfléchissions à ce laboratoire ?
L’approche technique doit parfois faire face à une série de réalités comme l’insuffisance des équipements, leur disparité, leur non-utilisation ou leurs mauvais usages… elle accentue ainsi les inégalités sociales. Comment concilier cette réalité et la pédagogie ?
Le non-présentiel, le recours au numérique nous orientent-ils vers une virtualisation de la relation éducative ? Quelle est la place de l’enseignant dans ce scénario ?
Comment maintenir l’idée du groupe lors d’un enseignement à distance ?